Cimetières du Mellois



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BRELOUX (LA CRECHE -79-)

Visite du 27/02/2016

fiche établie le 11/09/2018

suite info de David PELLETIER

Tombes de la famille De SAVATTE





Photo de David PELLETIER



Photo de David PELLETIER


Photo de David PELLETIER

MR ISIDORE DE SAVATTE AGE DE

CORP DU ROI DE PREMIERE CLASSE

20 NOVEMBRE 1829 PRIEZ DIEU POUR LE REPOS

DE SON AME

Jacques Isidore SAVATTE de la MOTHE



Né le 17 juillet 1798 - La Roche Udon, Les Groselliers

Décédé



Parents

Jacques Hubert SAVATTE de la MOTHE 1756-1839

Marthe Victoire PIDOUX †1848



Frères et sœurs

H Augustin Hubert SAVATTE de la MOTHE 1796-

H Pierre Alexandre SAVATTE de la MOTHE 1800-

H Louis Charles SAVATTE de la MOTHE 1802-

H Augustin Léon SAVATTE de la MOTHE 1804-

H Hubert Delphin Simon Jude SAVATTE de la MOTHE 1807-



Notes



Le 22 novembre 1815, il est nommé par le Roi sous-lieutenant dans la légion de Tarn et Garonne, et en 1816 dans les gardes du corps du Roi, compagnie du duc de GRAMMONT.


Source des informations généalogiques






31 ans, capitaine de cavalerie célibataire (AD 79)





ICI REPOSE LE CORPS DE HUBERT DELPHIN SIMON DE SAVATTE

FILS DE MR HUBERT DE SAVATTE PROPRIETAIRE ET MAIRE

DE BRELOUX ET DE MARIE VICTOIRE PIDOU AGE DE

DECEDE LE 5 JUIN 1825 PRIEZ DIEUX POUR LE REPOS DE SON AME

Hubert Delphin Simon Jude SAVATTE de la MOTHE



Né le 10 août 1807 - La Roche Udon, Les Groselliers

Baptisé le 9 septembre 1807 - Champsdeniers (Deux Sèvres)

Décédé



Parents

Jacques Hubert SAVATTE de la MOTHE 1756-1839

Marthe Victoire PIDOUX †1848



DCD à BRELOUX le 4 juin 1825 célibataire 18 ans (AD 79)


Notes individuelles concernant le père

Il est Seigneur de la ROCHE-UDON.
Le 11 mars 1789 à la Villedieu du Pont du Vault, Jacques Hubert et Augustin SAVATTE DE LA MOTHE partagent sous seings privés, entre eux et avec leur père, la succession de leur mère qui avait testé en faveur de son mari par tesament olographe du 6 octobre 1786, déposé dans l'étude de maître BELLOT, notaire royal à Saint-Maixent, le 16 janvier 1789 (Archives de la Vienne, EN 1553). Il a été tonsuré par l'évêque de Poitiers, le 11 juin 1769 en l'église abbatiale de Saint-Maixent (Bibliothèque de la Société des Archives historiques du Poitou, liasse 47). Il demeure au lieu dit La Roche-Udon, paroisse des Groselliers (commune de Mazières, Deux-Sèvres). Le 25 septembre 1792, "la municipalité des Groselliers s'est présentée avec la garde nationale de Saint-Pardou (aujourd'hui Saint-Pardoux, canton de Mazières-en-Gâtine, Deux-Sèvres) et celle de Mazière (aujourd'hui Mazières-en-Gâtine, Deux-Sèvres), pour désarmer le Sieur SAVATTE et ont emmené son cheval sellé et bridé, et ont pris une cloche" (Archives de la Vienne : EN 1554). En mars 1793, "les bestiaux sont saisis et les scellés mis sur les meubles". Il semble avoir été arrêté à la même époque et emmené à Parthenay, puis à Niort et Angoulême. Son épouse reste et subit encore des visites domiciliaires et des saisies. En février 1798, il est poursuivi pour complicité avec les émigrés. Le domaine de la Plissonnière paroisse de Fegnon ou de Segnon lui a été confisqué. En 1816, il est maire de la commune de Breloux la Crêche, quand il écrit le 30 décembre (Archives de la Vienne : EN1553), au ministre de la guerre pour "... solliciter une sous-lieutenance dans la légion de la Vienne en faveur de son fils Pierre-Alexandre DE SAVATTE. Son frère, Jacques Isidore DE SAVATTE, avait été nommé par le Roi le 22 novembre 1815 sous-lieutenant dans la légion de Tarn et Garonne, mais il avait été nommé également dans les gardes du corps du Roi où il servit dans la compagnie du duc DE GRAMMONT. Il demandait également une place aux écoles militaires pour son quatrième fils Hubert Delphin Simon Jude DE SAVATTE, né à la Roche-Udon, mais non enregistré aux Groselliers. et pour lequel une enquête a été faite le 21 septembre 1820 devant le juge de paix du canton de Mazières (arrondissement de Parthenay, Vienne), afin d'établir sa filiation ..." Le 1er juillet 1797, il est détenu à Niort depuis environ un an pour avoir reçu chez lui des émigrés et des brigands et provoqué à la désertion un volontaire. Le texte de la plaidoirie en sa faveur devant le jury, le 1er avril 1798, se trouve aux archives de la Vienne, (liasse EN390). La métairie de Boisgenet, commune de Breloux, a été vendue matinalement, le 7 mai 1798, sur Hubert SAVATTE LA MOTHE, fils émigré et adjugée 60 000 francs au citoyen Hubert SAVATTE LA MOTHE, demeurant commune de Breloux (probablement son père). Cette métairie est sise au village de la Villedieu. Dans une requête au ministre de la guerre datée du 26 juillet 1816, Jacques Hubert SAVATTE écrit : "... que son père et ses deux oncles sont morts chevaliers de Saint-Louis ; que ses deux frères ont été élevés à l'école militaire, l'aîné des deux, capitaine au régiment de Royal-Roussillon-Infanterie fut embarqué pour les Indes en 1781 où il mourut glorieusement, le second est chevalier de Saint-Louis comme émigré ; que trois de ses cousins du nom DE SAVATTE, l'un capitaine au régiment de Médoc est mort chevalier de Saint-Louis et les deux autres ont été fusillés à Quiberon"... (EN1555).

Notes concernant l'union

En 1840, de leurs six enfants seuls Pierre Alexandre et Léon Auguste survivent ; le premier demeure alors à la Villedieu de la Crêche et le second à la PIMPILLIERE (commune de Saint Ouane, canton de Saint-Maixent) Ils partagent la succession de leur père devant maître PRESLE-DUPLESSIS, notaire à Saint-Maixent, le 15 février 1842. Plus tard, Alexandre habite Rocan, commune de Breloux, et Léon habite La Villedieu.







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